La Nuit est belle revient sur notre territoire pour sa 4e édition : une extinction de l’éclairage publique à grande échelle aura lieu le vendredi 22 septembre 2023 sur le territoire de Grand Genève et au-delà pour redécouvrir la beauté des paysages nocturnes tels qu’ils ont prévalu sur terre pendant plusieurs milliards d’années. La lune, Saturne et Jupiter seront visibles et observables au télescope.
Durant la nuit du 23 septembre 2022 au 24 septembre, la 3e édition de l’opération intitulée “La Nuit est Belle” qui consiste en un non-allumage de l’éclairage des villes aura lieu dans le Grand Genève (Suisse et France ensemble).
209 communes du Grand Genève sont invitées à répondre à l’appel lancé afin de ne pas allumer leur éclairage public. Les particuliers et les entreprises de notre territoire seront aussi appelés à jouer le jeu en limitant autant que possible les émissions lumineuses durant cette nuit pour ainsi initier une reconquête d’un des plus beaux patrimoines qu’est le paysage nocturne avec son ciel étoilé et sa quiétude : un geste d’un soir pour que l’émotion positive qui en émanera nous amène à pérenniser ce geste.
Au coucher du soleil, la voie lactée sera perpendiculaire à l’horizon et traversera le ciel comme une immense arche dans la mesure où le ciel sera suffisamment sombre. Les trois plus belles planètes du système seront aussi visibles peu après le coucher du soleil : Saturne et ses anneaux, Jupiter et ses lunes ainsi que Mars qui sera proche de son opposition avec la terre.
Si les nuages n’élisent pas domicile dans le ciel ce soir là, les avions en approche découvriront non pas le Grand Genève “territoire lumière”, mais Grand Genève “territoire étoilé” !
La société astronomique de Genève organisera de nombreuses animations astronomiques dans les communes suivantes:
Texte écrit et lu durant la conférence de presse du 10 mai 2021 annonçant la deuxième édition de la Nuit est Belle du 21 mai 2021
Mesdames et Messieurs,
Tout d’abord, je tiens à remercier très chaleureusement les autorités du Grand Genève des deux côtés de la frontière ainsi que la fête de la nature pour leur travail remarquable dans le but de célébrer “la Nuit” lors de la 2e édition de la Nuit est Belle qui aura lieu le 21 mai 2021.
Savez-vous qu’il y a plus d’étoiles dans l’univers que de grains de sable à la surface de la terre ? Pourtant en ville et au 21e siècle, où justement nous devrions voir loin, nous ne voyons que quelques dizaines d’étoiles. Sommes-nous allés trop loin ?
Pour répondre à cette question et poursuivre sur la conclusion de Pascal, c’est quoi cette maison ?
Ce n’est pas une maison avec un toit ou des murs ni un nouveau musée dédié à La Nuit est Belle, non rassurez-vous, c’est encore plus dynamique que cela à nos yeux : il s’agit une nouvelle discipline scientifique que nous envisageons faire germer et croître sur notre territoire afin qu’elle essaime ensuite au-delà de celui-ci. Pascal et moi en avons semé la graine après la première édition de La nuit est belle en 2019.
Ainsi pour apporter une réponse constructive et dans l’air du temps, il nous est tous deux rapidement apparu évident que pour embrasser la thématique des pollutions lumineuses en lien avec le fonctionnement des paysages nocturnes qui touche de nombreuses disciplines (liste non exhaustive) telles que : biologie et biodiversité, astronomie, sociologie, histoire, médecine-sommeil-et santé, sciences de l’ingénieur et problématiques énergies, urbanisme et sciences des paysages, psychologie, mobilité, télécommunications, etc, il manquait une discipline scientifique : un toit commun qui les amènerait à parler ensemble sur le thème de la Nuit. Face à la complexité de cette thématique qui nécessite de penser au-delà des silos métier, il nous est tous deux apparu évidemment que nous devions fonder la Noctilogie : la science de la Nuit qui permet une approche holistique. L’analyse et la gestion des risques pourraient alors y revêtir une dimension globale et multidisciplinaire.
In-fine, l’optique de la noctilogie est de permettre une approche transversale et d’amener les différentes disciplines citées précédemment à travailler ensemble main dans la main et surtout à mutualiser les connaissances dans le but d’éviter les risques systémiques liés au manque de connaissance d’un domaine connexe non maîtrisé : en résumer éviter l’approche par silo génératrice de risques.
Il faut du plus global et du multidisciplinaire, une nouvelle façon de penser et du plus anthropocène. Il faut absolument faire dialoguer et se combiner au plus vite tous ces savoirs dispersés, voire très vite plus large et de manière plus ambitieuse. Et pas uniquement des dialogues entre spécialistes et disciplines universitaires, mais aussi et surtout avec toute la population concernée et ses intelligences collectives, ce que nous faisons tous ensemble déjà avec La Nuit est Belle !
Sans la limnologie, la science des lacs née dans notre région, nous n’aurions jamais épuré nos eaux. Dans le même esprit novateur, faisons donc croître dans l’élan de La Nuit est Belle cette nouvelle discipline dédiée à la nuit, la noctilogie. La limnologie est née du Léman, la noctilogie est en train de naître, fille de La Nuit est Belle et dotée de l’ADN de Grand Genève et dont sa raison d’être est, nous l’espérons, de partir à la reconquête de la Nuit.
Suite à la création de la nouvelle discipline scientifique la “Noctilogie” qui s’intéresse à l’étude de la nuit, voici une interview de leurs fondateurs et également initiateurs de “La Nuit est Belle” :
Pascal Moeschler (Hydrogéologue, biologiste, ancien conservateur au Muséum d’Histoire Naturelle de Genève et directeur du Centre de coordination ouest pour l’étude et la protection des chauves-souris)
Eric Achkar (Ingénieur, diplômé en gestion des risques et président de la Société astronomique de Genève)
Voici également leur article fondateur complet (au format PDF) publié dans la revue de la Société astronomique de France dont la première page se trouve ci-après.
Pascal Moeschler, Hydrogéologue, biologiste et ancien conservateur au Muséum d’histoire naturelle de Genève et Eric Achkar, Ingénieur, diplômé en gestion des risques et président de la Société astronomique de Genève fondent “La Noctilogie” une nouvelle discipline scientifique dédiée à la nuit.
Cette nouvelle discipline scientifique fait l’objet d’un article complet écrit par Eric Achkar et Pascal Moeschler dans “L’astronomie” du mois de janvier 2020, édition n°134, la revue scientifique de la Société astronomique de France, dont la première des quatre pages se trouve ci-dessous. Cet article (pages 60 à 63) est accessible par un large public et ne nécessite pas de prérequis scientifique. La revue “L’astronomie” est disponible en kiosque depuis le 19 décembre 2019.
Eric Achkar, président de la Société astronomique de Genève intervient sur le sujet de la pollution lumineuse sur TV5 Monde le 28 octobre 2019 à 18h30.
Voici le téléjournal de la Radio Télévision Suisse (RTS) à propos de l’événement intitulé “La Nuit est Belle” qui a eu lieu le 26 septembre 2019. Cet événement majeur a consisté en l’extinction de l’éclairage public pour voir les étoiles de plus de 150 communes répartis entre la Suisse et France impliquant les Cantons de Genève et Vaud ainsi que les départements de la Haute-Savoie et de l’Ain.
Voici ci-dessous l’émission “Ensemble” diffusé sur Léman Bleu le 03 octobre 2019 qui revient sur la soirée du 26 septembre 2019.
Voici ci-dessous une intervention sur France 3 enregistrée le soir du 26 septembre 2019.
Message lu par Eric Achkar, président de la Société astronomique de Genève, durant la conférence de presse du 19 septembre 2019 annonçant le non-allumage de l’éclairage public du Grand Genève le 26 septembre 2019 (événement “La Nuit est Belle”).
Tout d’abord, je tiens à remercier très sincèrement le Grand Genève qui organise et coordonne cet événement avec les 149 communes de part et d’autre de la frontière qui ont décidé de participer à ce non allumage de leur éclairage public durant la soirée du 26 septembre 2019. Cette prise de conscience montre un élan formidable de coordination sur une thématique transversale et multidisciplinaire qui touche autant l’énergie, la santé, la biodiversité, la sociologie, l’architecture, l’urbanisme que l’astronomie. (suite après la photo ci-dessous).
Cette action de grande ampleur permettra de faire « rayonner » notre territoire si vous me permettez l’expression.
« La Nuit est Belle » offrira aux habitants de notre territoire de voir à nouveau loin car c’est ce que nous avons tous besoin aujourd’hui face aux enjeux de notre temps. (suite après la photo ci-dessous).
Afin de donner plus d’amplitude à cette dynamique, éteindre un territoire plus grand va dans cette continuité logique, c’est ce qui va se produire le 26 septembre afin d’amplifier le contraste stellaire et de sensibiliser aux enjeux multiples associés.
Je formule ici le souhait que l’opération « La nuit est Belle » puisse donner une puissante impulsion et inspirer d’autres grands territoires en Suisse, en France, en Europe ou dans le monde de faire de même. Ainsi notre territoire restera dans l’histoire le premier à avoir pris cette décision d’une très grande modernité et initiera un profond changement sociétal de notre rapport, nous humains, avec la nuit, trop souvent connotée négativement.
Dans le cadre de « La Nuit est Belle », entreprises, particuliers, etc… sont incités à jouer le jeu en limitant les émissions de lumières cette nuit-là.
Guillaume Apollinaire écrivit « Il est grand temps de rallumer les étoiles », tel sera l’objectif de cette soirée qui offrira, si la météo le permet, le spectacle du ciel étoilé à la population de notre territoire tel qu’il a été visible sur terre pendant plusieurs milliards d’années.
Prenons le temps ce 26 septembre, de regarder les étoiles et/ou d’écouter les sons de la nuit afin de se réapproprier ce magnifique spectacle nocturne, de percevoir notre territoire autrement.
Maintenant, nombre d’entre vous se poseront la question de pourquoi le 26 septembre ?
Tout d’abord, la lune sera invisible le soir et nous serons proches de la nouvelle lune, ce qui offrira un beau ciel contrasté si le temps le permet.
Ensuite la voie lactée, notre galaxie, sera verticale par rapport à l’horizon terrestre au coucher du soleil. Elle apparaitra telle une magnifique arche surplombant le ciel. Sa présence magnifiera la splendeur de la nuit et montrera que « La Nuit est Belle », tout en contribuant à reprogrammer les croyances trop souvent négatives à son égard… car elle n’est que la frêle ombre de la terre.
Enfin ce 26 septembre, il y a aura Saturne et ses anneaux ainsi que Jupiter et ses lunes peu après le coucher du soleil, toutes deux visibles à l’œil nu et au télescope pour plus de détails.
Pour permettre à la population de profiter pleinement de ce spectacle céleste, plus de 50 astronomes amateurs de Suisse et France vont se mobiliser sur plus de 20 sites des 2 côtés de la frontière, la liste des sites est accessible sur le site la Nuit est Belle
Cette mobilisation du territoire franco-suisse démontre une capacité exceptionnelle de coordination.
Ce moment nous permettra de nous reconnecter à l’univers d’où nous venons, puisque tout ce que nous voyons, notre belle planète Terre ainsi que nous-mêmes sommes in-fine de la poussière d’étoiles.
Afin que le ciel étoilé ne disparaisse pas, je souhaiterais citer cette phrase de l’UNESCO datée de 1992 : “Le ciel étoilé fait partie intégrante du patrimoine mondial à préserver”, phrase qui prend tout son sens aujourd’hui à l’orée de « La Nuit est Belle ».
Eric Achkar Président de la Société astronomique de Genève
La Nuit est Belle : Le Grand Genève sous les étoiles (article ci-dessous)
Un communiqué de presse annonçant le non allumage de l’éclairage public en partenariat avec la Société Astronomique de Genève, le Muséum d’histoire naturelle de Genève, le Grand Genève et la Maison du Salève est accessible à ce lien.
Dernière minute (31 mai 2019): Le projet d’extinction de l’éclairage public du 26 septembre 2019 imaginé et initié par la Société Astronomique de Genève (SAG) et le Muséum d’Histoire Naturelle de Genève (MHNG) soutenu par le Grand Genève (projet expliqué à ce lien: Projet novateur « La Nuit est Belle ! ») a fait la Une du Dauphiné (image ci-dessous) sur 5 territoires différents : Annecy/Rumilly + Bellegarde/Pays de Gex + Thonon-les-bains/Le Chablais + Mont-Blanc/Arve/Faucigny + Annemasse/Genevois.
La journée suisse de l’astronomie, qui avait cette année pour thème la pollution lumineuse, s’est déroulée le 30 mars 2019 dans toute la Suisse. En ce qui concerne Genève, l’événement proposait deux temps forts:
Evénement n°1: Conférence scientifique Au Musée d’histoire des sciences dès 14h30: Pascal Moeschler, conservateur au Muséum d’histoire naturelle (MHNG) et Eric Achkar, président de la Société Astronomique de Genève (SAG), ont donné une conférence scientifique sur la pollution lumineuse. Celle-ci a été filmée par une équipe de tournage dans l’optique de la réalisation d’un documentaire sur la pollution lumineuse.
Evénement n°2: Extinction de l’éclairage public et observation du ciel étoilé Dès 20h30, le programme s’est poursuivi avec un événement inédit et exceptionnel dans la commune de Bernex (GE), partenaire de la journée suisse d’astronomie. A la demande de la SAG, cette commune de près de 10’000 habitant-e-s a accepté de couper son éclairage public toute la nuit, avec la complicité des SIG (Services Industriels de Genève), ce qui a permis à la population d’observer un ciel étoilé et non perturbé par la pollution lumineuse au moyen de 25 télescopes installés sur le site du Signal animé chacun par des astronomes de la SAG et de sociétés astronomiques voisines. Cet événement spectaculaire a été rendu possible grâce à l’engagement du Conseil administratif de Bernex et l’engagement de M.Bernard Lugrin, chef du département Environnement et Services extérieurs de la commune. Voici ci-dessous le début de l’installation du matériel avant la tombée de la nuit.
L’engouement du public a été vif face au ciel rempli d’étoiles. De nombreuses personnes ont demandé au terme de cette soirée quand aurait lieu la prochaine extinction de l’éclairage par souhait de revivre à nouveau cette aventure. Ces réactions confirment l’intérêt du public qui est décidément de plus en plus intéressé et prêt à mieux se réaccaparer le ciel nocturne et ses paysages.
Actions scientifiques sur le territoire du Grand Genève L’extinction exceptionnelle de Bernex s’inscrit dans un projet initié et développé par la Société Astronomique de Genève (SAG) et le Muséum d’Histoire Naturelle de Genève (MHNG). Les questions de pollution lumineuse ne peuvent être abordées qu’avec la population, les autorités concernées comme les industriels ou techniciens du domaine de l’éclairage ou de l’aménagement du territoire.
Depuis 2015, la SAG et le MHNG ont ainsi donné 28 conférences aux élu-e-s et à la population dans des communes situées sur le territoire du Grand Genève (Suisse et France). Ces conférences permettent d’expliquer et d’échanger sur les conséquences et impacts des « trop de lumière » dans des domaines multiples et souvent liés: biologie, santé, astronomie, aménagement du territoire, architecture, tourisme, le tout en abordant la transition énergétique et la crise de la biodiversité (impactée par l’éclairage nocturne). Cette conférence, au plus près des habitant-e-s et acteurs du territoire, évolue au fur et à mesure des connaissances scientifiques. Elle fournit en conclusion des solutions pratiques (souvent simples et peu coûteuses) pour diminuer la pollution lumineuse et développer nos éclairages de demain de manière plus moderne et intégrée dans nos villes et villages.
La Société Astronomique de Genève et le Muséum d’histoire naturelle de Genève ont par ailleurs initié et accompagné à ce jour 5 extinctions exceptionnelles de l’éclairage public du territoire du Grand Genève et ainsi faire découvrir la richesse du ciel étoilé au public avec des télescopes comme à Bernex. A chaque fois, un même enthousiasme spontané est partagé par les publics. Les municipalités qui ont bien entendu été pleinement parties prenantes de ces actions n’ont enregistré quasi aucune plainte de la population lors de ces extinctions ponctuelles et exceptionnelles, bien au contraire ! Les réactions spontanées des publics indiquent que les représentations collectives sont bien en train d’évoluer rapidement sur cette thématique. Avoir un contact et un accès visuel avec la nuit et son ciel étoilé est apparemment de plus en plus apprécié et il y a actuellement une demande de plus en plus forte de la population qui va dans ce sens.
Projet novateur “La Nuit est Belle !” : Extinction exceptionnelle de l’éclairage public du Grand Genève La Société Astronomique de Genève, le Muséum d’Histoire Naturelle de Genève et le Grand Genève ont un projet commun intitulé “La Nuit est Belle !” qui a été proposé à de multiples reprises sur Internet, dans les médias et aux élu-e-s en Suisse et en France lors des 28 conférences données jusqu’à ce jour.
Sur la base de ces actions science et société, la Société Astronomique de Genève et le Muséum d’histoire naturelle de Genève ont conçu ce projet novateur et ambitieux. Ce dernier propose aux 209 communes du Grand Genève d’éteindre l’ensemble de leurs éclairages publics durant un soir de nouvelle lune, à une date où la voie lactée est verticale par rapport à l’horizon en soirée, ce qui lui donnera davantage de splendeur juste après le coucher du soleil. C’est ainsi un vaste territoire transfrontalier comprenant le Canton de Genève ainsi que le district de Nyon et de vastes espaces côté France, qui ferait événement en proposant un événement appelé à être vécu sur le pas de sa porte comme d’être visible depuis l’espace. Avec l’ambition de « rallumer les étoiles » et de partager un événement fort en commun, il s’agirait ni plus ni moins de la première extinction coordonnée d’un territoire aussi vaste en Europe. Sur la base de ces éléments astronomiques, c’est ainsi que la date du 26 septembre 2019 a été choisie.
Puisqu’il y a plus d’étoiles dans l’univers que de grains de sable à la surface de la terre, l’organisation d’un tel événement donnant à voir un ciel rempli d’étoiles sera déclencheur de la prise de conscience qu’il y a au-dessus de nos têtes notre univers: une magnifique fresque cosmique de laquelle nous puisons nos racines et qui ne demande qu’à être contemplée car “La Nuit est Belle !”.
Ainsi les habitant-e-s du Grand Genève pourront à nouveau voir loin, ce qui in fine est la quête de l’homme: voir et explorer des territoires lointains pour réfléchir, se poser des questions et ainsi mieux sentir et comprendre pourquoi il est plus que jamais nécessaire de collaborer et d’agir ensemble pour préserver notre minuscule planète !
Ce concept d’extinction à grande échelle imaginé par la SAG et le MHNG suscite de plus en plus intérêt et adhésion de la part d’élu-e-s, de la population en général comme des personnalités et ONG de divers horizons (science, transition écologique, tourisme).
Photos prises à Bernex & Bilan de la soirée d’extinction publié par la commune de Bernex
Auteur: Mathieu Varis (3 galaxies prises à Bernex grâce à l’extinction de l’éclairage public)Auteur: Eric Achkar (la noirceur du ciel étoilé à Bernex)
Le samedi 30 mars 2019 aura lieu la Journée Suisse d’Astronomie 2019 dont le thème sera la pollution lumineuse. Au programme, deux événements vous sont proposés dans le Canton de Genève :
Point d’orgue de cette journée, Bernex (GE) participera au programme de la journée d’astronomie: la commune coupera exceptionnellement son éclaraige public afin de proposer au public d’observer la beauté du firmament avec des télescopes. – Lieu: Signal de Bernex – Horaire: 20h30 Tout le programme se trouve à ce lien
Important: En cas de météo nuageuse, les observations seront annulées. Avant de vous déplacer, une annonce sera communiquée en première page de ce site le samedi 30 mars dès 16h00 pour les observations à Bernex.